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Partenaires et financeurs
Le projet ECOLEMM est un projet de recherche mis en œuvre par les Fédérations Départementales des Chasseurs (FDC) de l’Ain, du Jura et de la Haute-Savoie, l’Office Français de la Biodiversité (OFB) et le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS). Il valorise et approfondi les résultats du Programme Prédateur Proies Lynx (PPP Lynx), développé par ces mêmes acteurs de 2017 à 2021.
Cette réflexion entre ces partenaires fait suite à l'estimation des densités de lynx à l'échelle du massif jurassien (Estimation des densités de lynx dans le massif du Jura entre 2011 et 2014).
En effet, ces acteurs ont souhaité améliorer les connaissances sur les effets de la chasse et de la prédation du lynx boréal sur les populations de chevreuils et de chamois, ce dans un contexte d'amélioration de la coexistence entre la chasse et le félin protégé.
Le fonctionnement du projet est le suivant :
Composition : Fédérations Départementales des Chasseurs (FDC) de l’Ain, de la Haute-Savoie et du Jura, Office Français de la Biodiversité (OFB) et Centre Nationale de la Recherche Scientifique (CNRS)
Rôle :
- Veiller à l’atteinte des objectifs du projet, tels que définis lors de la rédaction des protocoles de recherche rédigés et validés par ce comité ;
- Évaluer et déployer les moyens nécessaires à l’atteinte des objectifs ;
- Fixer les grandes orientations du projet débattues par les autres comités ;
- Valider les proposition des différents comités et équipes projet.
Composition : Membres du Comité Directeur + chercheurs du CNRS (Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive et Laboratoire de biométrie et de biologie évolutive) non directement impliqués dans le pilotage des actions, ou du KORA (structure spécialisée dans le suivi des grands carnivores en Suisse).
Rôle :
- Évaluer et valider les protocoles initialement proposés par le Comité Directeur ;
- Évaluer les actions mises en œuvre, la qualité des données récoltées au regard des objectifs de recherche et proposer des améliorations ou de nouveaux protocoles.
Composition : Membres du Comité Directeur + services de l’État (Directions Départementales des Territoires – DDT 39/01 – et Direction Régionale de l’Eau de l’Aménagement et du Logement – DREAL BFC/AURA)
Rôle :
- Évaluer la bonne mise en œuvre des actions, leur adéquation avec les objectifs initiaux et le contexte en présence ;
- Proposer des orientations en adéquation avec ces analyses.
Composition : Membres du Comité Directeur + membres du Comité de Pilotage + ensemble des financeurs
Rôle :
- Assurer une homogénéité des opérations de communication issues du projet, afin d’apporter des informations objectives et de faciliter le partage de connaissances issues du projet auprès des différents publics ;
- Valider et proposer des améliorations aux opérations de communication proposées par l’équipe projet et les comités.
LES PARTENAIRES ET BÉNÉVOLEs IMPLIQUÉS
La mise en oeuvre du projet sur les différents sites d'étude est permise grâce à l'implication de nombreux partenaires et bénévoles dont le rôle est important:
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Bénévoles impliqués lors des captures de chevreuils sur la commune des Planches-en-Montagne © FDC39 |
Le projet est financé par divers partenaires
Les partenaires suivants soutiennent financièrement le projet :
- La Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) et l’Office Français de la Biodiversité (OFB) dans le cadre de l’écocontribution ;
- La Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement (DREAL) Bourgogne-Franche-Comté (BFC) ;
- Les Conseils Départementaux (CD) de l’Ain et du Jura ;
- La Région Auvergne-Rhône-Alpes (AURA) ;
- La Fondation François Sommer (FFS) dans le cadre d’actions en faveur de l’amélioration de la coexistence entre le lynx et les activités humaines ;
- L’Association Nationale Recherche Technologie (ANRT) dans le cadre d’une bourse CIFRE;
- Les Fédérations Régionales des Chasseurs de Bourgogne Franche-Comté et d'Auvergne Rhône-Alpes dans le cadre du suivi du projet.
De plus, les Fédération Départementales des Chasseurs de l’Ain, de la Haute-Savoie et du Jura, ainsi que l’OFB et le CNRS, assurent la part restante d’autofinancement du projet.
