En 2019, un premier travail de stage a permis d’analyser ces premières données partielles.
Les résultats de cette étude préliminaire semblent ainsi mettre en évidence un impact de la pression de chasse anthropique sur la consommation de certaines espèces végétales, mais pas d’impact de la pression de chasse naturelle.
Plus que ces résultats encourageants, c’est probablement l’amélioration des protocoles et la mise en évidence de possibles biais évitables et d’outils pour s’en prémunir qui constitue la retombée la plus importante de cette étude.
Pour plus de détails sur les travaux, consultez le rapport de stage suivant :
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Abroutissement d'une chevrette équipée d'un collier GPS sur un semis de sapin pectiné © FDC39 |